TROISIEME JEU — COMBAT 2VS2

Tu as enfin réussi à te débarrasser d'Icare, Rapace. T'en es plutôt fier, d'ailleurs. Mais d'un côté, t'as peu un honte que ton partenaire se soit fait latter la gueule ainsi, mais ça te fait plaisir de savoir que du coup, c'est ton tour de passer aux poings avec l'autre. Surtout que tu as l'impression que la chance avec toi, pour le moment. Et quelle chance; la première attaque de ton adversaire se rate magistralement, ce qui t'arrache un rire qui vient clairement du cœur, là.
Alors du coup, tu réagis presque machinalement. Tu auras tout le temps de te foutre de sa gueule après. Il a voulu te niquer le ventre avec son bras ? Très bien. Tu lève ton pieds en l'air, t'apprêtant à lui enfoncer dans le ventre. T'as encore un peu trop de respect pour viser plus bas, parce que t'es tellement confiant que tu es persuadé que tu vas gagner ... Mais qui sait ?

Cette histoire commençait vraiment à devenir n'importe quoi. Tu as cette terrible impression d'être retourné à l'enfance, quand tu ne savais pas comment frapper, ni même te défendre. Tu te loupes encore une fois alors que tu étais si confiant, et cela à le don de t'énerver fortement. Cela doit se voir à ton regard, à la façon dont tu te mords la lèvre et à la manière dont tes ongles entrent dans ta peau des mains. « Va te faire foutre. » réponds-tu amer. Et en plus de ça, Babylone ose sourire. Parce que bien entendu, c'est le moment le plus adapté pour tenter d'être social, Babylone. Parce qu'en plus de ça, après ses piques cyniques, il ose se louper, ne pas frapper comme il faut. Et ça, ça c'est encore plus énervant. Parce que cette petite dfjshfks ose te parler ainsi alors qu'il n'arrive pas à mettre un coup de talon. T'as eu le temps de reculer, certes, mais quand même. Et du coup, ça te donne qu'une seule envie, qu'une seule idée. « Toujours plus doué que ta pote. » trouves-tu intelligent de dire alors que tu es décidé à profiter de son manque de stabilité pour lui faire un croche-pied, ou tout du moins essayer, afin de le mettre à terre pour pouvoir lui mettre la misère.